La gamme Superia X-TRA a hérité
de la 4e couche du Reala, et a donc perdu toute sa
sensibilité au rouge des nébuleuses diffuses en longue
pose. Le Superia 800 qui était une référence en ciel
profond est donc devenu inutilisable (sauf pour les amas
stellaires). Voir le
résultat éloquent ici...
Le Superia X-TRA 100 ISO est un choix plus économique que
le REALA. Il possède un grain fin et régulier: pour le
soleil, la lune et les planètes.
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Cette gamme fort regrettée n'est plus disponible; elle fut la référence en ciel profond en 800 ISO. Remplacée par la Superia XTRA. |
Fuji NPZ 800. Cette pellicule professionnelle doit être conservée au réfrigérateur par le revendeur pour conserver ses caractéristiques. Réputée pour son grain extrêmement fin et apparue vers juin 2002. Disponible en 36 poses |
Sensibilité unique 100 ISO. Elu meilleur négatif du monde 1997 en raison de son respect des couleurs et de sa finesse, mais prévu pour le portrait et non pour l'astronomie. Non testé. A essayer en remplacement de l' Agfa ultracolor 50 ou des anciens Kodak Ektar 25 et 100 pour le solaire, lunaire et planétaire. Il est le premier à utiliser la fameuse 4e couche qui a rendu toute la nouvelle gamme Superia XTRA inopérante pour les nébuleuses, par la perte totale de sensibilité au rouge (HII) en longue pose... Disponible en 36 poses. |
On ne l'aura pas eu longtemps, ce merveilleux remplaçant amélioré des >Kodak Ektar 1000 et Fuji Superia non-XTra 800... Il conservait un grain comparativement très fin en 400 ISO. Contrairement aux autres gammes Kodak (Royal Gold, Ultra), cette gamme possèdait une faible dérive chromatique (avec l'Ektar, le rouge déviait vers le marron à partir de 3 minutes de pose, ce qui obligeait à faire corriger les couleurs pour chaque tirage). A utiliser en lunaire, solaire et planétaire (100 et 200 ISO). Parfait en ciel profond en 400 ISO; le 800 ISO était également performant mais d'un grain plus grossier et irrégulier. ATTENTION: ne pas confondre les gammes ULTRA (familiale) et SUPRA. Disponible en 36 poses. |
Remplaçante de la très regrettée Supra, et pas encore essayée. Les caractéristiques ne sont pas (encore?) publiées. Comme elle n'est pas conservée au réfrigérateur comme l'était la Supra tout court, il s'agit d'une pellicule grand public, bien que présumée haut de gamme. Hypothèse personnelle à vérifier: je suppose que seul l'emballage a changé et qu'il s'agit d'une Supra sans ses tolérances professionnelles. Se rappeler la colère des actionnaires à l'annonce (en 2003) du retrait programmé de l'argentique chez Kodak.. |
Cette gamme professionnelle s'étendant du 25 au 1000 ISO n'est plus disponible. L'Ektar 1000 possédait un grain légèrement irrégulier mais extrêmement fin pour sa sensibilité, et gardait une bonne réponse en longue pose, avec des couleurs saturées (et même exacerbées). Une correction au tirage était indispensable car les rouges des nébuleuses devenaient marrons. |
Les réserver aux photos familiales économiques. |
Négatif couleur 50 ISO. D'une finesse exemplaire, de même niveau que l'ancien Kodak Ektar 25. A réserver pour le planétaire, lunaire, solaire, ou les poses courtes avec un objectif de très grande qualité. Non testé en longue pose. Disponible en 36 poses. |
Non testée personnellement. Ancienne pellicule au grain très apparent et irrégulier, mais particulièrement sensible à une plage de rouges qui la destine naturellement aux nébuleuses diffuses (de couleur rouge / rosée émise par l'hydrogène ionisé). Nécessite un objectif de toute première qualité. Autorise l'utilisation d'objectifs peu ouverts mais de définition irréprochable, permettant d'accéder financièrement à des Zeiss, Contax ou Angénieux économiques s'ils sont peu ouverts, ou à de bons objectifs à miroir (ouverts à 1:8 à 1:11). Ne nécessite aucun des traitements (préflashage et hypersensibilisation) pouvant s'avérer utiles à certaines des pellicules précédentes. |